Innovation
« Pour le PLR, il est fondamental de veiller à stimuler l’innovation en facilitant la recherche. »
Une gouvernance, à laquelle le contribuable peut faire confiance, se doit avant tout d’être transparente. La numérisation doit profiter en premier lieu aux administrés et non à l'administration. L’enjeux principal est d’enlever les obstacles bureaucratiques qui empêchent le citoyen de bénéficier pleinement des services publics. La Smart-City est au cœur de la transition vers une protection des différents environnements : l'internet des objets permet un pilotage des appareils qui nous assistent, sécurisent nos espaces et fluidifient nos interactions.[i]
Au vu des avancées technologiques et techniques, le PLR souhaite relancer le projet de vote électronique et introduire le e-collecting (centré sur les initiatives et référendums). Il est aussi important d’intégrer les entreprises numériques au cadre légal. Le PLR propose également la création d'une fondation permettant la mise sur pied d'une plateforme interne au Canton, pour mettre en place des projets-pilotes de NFT dans le domaine de la culture.
Protéger l’identité numérique de chaque individu afin de garantir son libre choix.
Promouvoir la mobilité interne à l’administration ainsi que la communication et collaboration interdépartementale.
Redéfinir la coordination et la collaboration interdépartementale, en créant des reporting fonctionnels ET hiérarchiques pour augmenter les synergies.
Lever les obstacles à l’innovation, via la mise en place de conditions-cadres facilitant l’innovation sur le terrain.
Soutenir les fournisseurs nationaux dans le cadre des projets-pilotes afin d’encourager l’innovation.
Enlever les obstacles bureaucratiques qui empêchent le citoyen de bénéficier pleinement des services publics. Des ateliers de formation devraient être proposés pour faciliter l’expérience de tous les citoyens, en particulier pour lutter cotre l’illetrisme numérique.
Augmenter la transparence des démarches et procédures, et des statuts des demandes et prestations.
Clarifier les processus et procédures pour l'administré, et permettre aux administrés et utilisateurs directs de pouvoir évaluer et donner du feedback sur les prestations en temps réel et de manière responsable.
La Smart-City (fortement connectée à l’intelligence artificielle et aux big data notamment) est au cœur de la transition vers une protection des différents environnements : en effet, l'internet des objets permet un pilotage des appareils qui nous assistent, sécurisent nos espaces et fluidifient nos interactions.
Encadrer juridiquement et technologiquement le concept de Smart City. Il s'agit, pour le monde politique, de garantir la liberté individuelle. En effet, la collecte de données massives et le traitement par l’intelligence artificielle amènent autant une sécurisation de la société qu’une restriction des libertés en tant que possibilité pour chacun de s’adapter selon la perception qu’il a de sa réalité.
Rapprocher l’ensemble des acteurs publics et privés, en s’appuyant sur les innovations entrepreneuriales et l’intelligence collective.
Remettre en œuvre le projet de le vote électronique et introduire le e-collecting (centré sur les initiatives et référendums).
Mettre en place des dérogations possibles aux AIMP (Accord Intercantonal sur les Marchés Publics) pour des raisons de sécurité d’État, dans le cadre du e-voting et du e-collecting.
Intégrer les entreprises numériques au cadre légal.
Mettre en place une régulation de l’IA pour garantir autant la liberté individuelle que le support aux engagements entrepreneuriaux. De plus, le cadre légal doit favoriser la place des humains en tant que pilotes des robots et de l’IA, et doit viser au bien-être de la population.
Soutenir le développement de ces technologies, par le biais du milieu académique, ou d'une manière similaire au projet Horizon de l’Union Européenne.
Faciliter un forum d’incubateurs.
Une valeur fondamentale pour le PLR est de stimuler l’innovation en facilitant la recherche. Aujourd’hui, des documents, des vidéos, des photos, des musiques, et tout ce qu’on peut imaginer peut être une NFT. Tout objet ou document peut être authentifié et vérifié au moyen de NFTs, assurant une protection meilleure et facilitée de la propriété intellectuelle, ainsi qu’une plus grande sécurité du droit de propriété.
Encourager la création d’une réglementation pour adéquatement protéger les propriétaires et créateurs de NFTs ainsi que la liberté d’entreprendre dans ce domaine.
Créer des bases légales sur les conditions d’identification et d’authentification des objets réels ainsi que leur contrepartie virtuelle sous forme de NFT et très souvent de contrats intelligents inclus (smart contracts), ainsi que sur le lien entre les objets numériques et réels.
Créer une fondation permettant la mise sur pied d'une plateforme interne au Canton, pour mettre en place des projets-pilotes de NFT dans le domaine de la culture. Faciliter l’accès à cette plateforme des NFTs pour le milieu événementiel, littéraire, artistique et celui des indépendants et des artisans.
Lancer un projet pilote, par l'intermédiaire de la création de NFTs en collaboration avec l’Université de Genève. Dans un deuxième temps, un projet similaire au niveau de l’Etat permettrait de déceler les enjeux juridiques pour pouvoir proposer une législation utile et efficace.
