Biographie

Agé de 48 ans, marié et père de 4 enfants, Cyril Aellen est indépendant depuis plus de vingt ans. Il exerce la profession d’avocat en tant qu’associé dans une Etude sise au centre de Genève. Ayant lui-même créé plusieurs entreprises, il assiste et conseille quotidiennement de nombreuses PME genevoises. Également actif en matière successorale et en droit de la famille, il exerce une activité professionnelle au contact des Genevoise et des Genevois.

Actif en politique depuis une vingtaine d’années, il a notamment été conseiller municipal à Bernex avant d’être élu au Grand Conseil en 2013. Il a été chef de groupe PLR entre 2017 et 2019, préside actuellement la commission ad hoc du personnel de l’Etat et est membre de trois autres commissions : celles des affaires sociales, du logement et du contrôle de gestion.

Cyril Aellen est engagé dans différentes associations communales mais aussi au sein de la Chambre Genevoise Immobilière qu’il a présidée de 2013 à 2015.

Cyril Aellen aime Genève et a à cœur que tous les habitants s’y sentent bien. Ses intérêts sont variés et proches de la réalité quotidienne des gens. Il est attaché à une formation de qualité dispensée par l’école publique, à la création et au maintien d’emplois destinés à une main d’œuvre locale et à un développement maitrisé du canton qui tient compte des réalités environnementales, économiques, sociales et culturelles.

L’efficacité du système politique suisse repose sur la concertation et la capacité des autorités à agir de façon consensuelle. Pour Cyril Aellen seul un Conseil d’Etat uni, qui saura obtenir l’adhésion d’une fonction publique de qualité, permettra de rendre l’Etat plus agile et capable de se réformer pour améliorer son service à la population.

Cyril Aellen est fermement opposé à toute hausse d’impôt. Genève ne subit pas une crise des recettes mais bien une crise des dépenses, ainsi un seul remède est valable à long terme, ne pas dépenser l’argent que l’on n’a pas. Il n’appartient pas à nos enfants de payer, demain, l’actuel train de vie dispendieux de leurs parents.

Une saine gestion des deniers publics n’est pas incompatible avec les dépenses nécessaires qu’il convient d’engager en temps de crise. Au contraire, c’est les collectivités publiques bien gérées qui ont les moyens d’indemniser correctement toutes les personnes touchées de plein fouet l’actuelle crise.